Publié le 03/06/2008 à 12:00 par soupe
La soupe à travers les âges
La préhistoire
La soupe est l'un des plus vieux mets du monde. Elle est apparue dès que l'homme a su maîtriser le feu. Les hommes creusaient à même le sol des trous dans lesquels ils chauffaient de l'eau avant d'y ajouter des végétaux et des racines. Plus tard, à l'apparition du chaudron, la soupe devint l'un des deux principaux types de nourriture, avec les aliments préparés à base de céréales.
A l'époque préhistorique, en Asie du sud-est, les hommes se servaient de bambous encore verts qu'ils remplissaient de liquide et qu'ils chauffaient à même le feu.
Au Moyen Age
On faisait bouillir les céréales pour préparer de la soupe, essentiellement réalisée à base d'orge et d'épeautre. Ces bouillies, répandues dans toute l'Europe, côtoyaient la soupe, dont le pain constituait alors l'élément principal.
Au XIIème siècle, la "soupe" désigne la tranche de pain sur laquelle on verse le bouillon brûlant fait de viandes, de légumes ou de vin : on fait alors "tremper la soupe" directement dans les écuelles de bois, de terre cuite ou d'étain.
La médecine du Moyen Age, qui reconnaît des vertus thérapeutiques à la soupe, prescrit, avant toute autre potion, du bouillon de poule. L'École Médicale de Salerne lui préfère la soupe au vin et Ambroise Paré ordonne à ses patients le bouillon de coq et de jarret de veau.
Nourriture des petits enfants sevrés, repas unique du peuple, brouet de fertilité et constituant principal des nuits de noce des jeunes mariés, la "soupe trempée" s'enrichit avec les plantes du potager médiéval : artichaut, oseille, poireau, fèves, citrouilles, pois, chou, oignon ...
Depuis la fin du XIVème siècle, il existe une fête de la "soupe du Saint-Esprit", célébrée dans les Alpes-Maritimes en souvenir de la lutte des villageois contre la disette.
XVIème - XVIIIème siècle
C'est au XVIème siècle que la soupe entre en grâce à la cour. Les repas commençaient alors par des potages, des entrées et des relevés de potage.
Jusqu'à cette époque, les termes "soupe" ou "potage" désignaient le même plat mais, dès le XVIIème siècle, l'aristocratie jugeant vulgaire de conserver le mot "soupe", lui préféra le vocable de "potage". Ainsi lorsque naît l'engouement de Louis XV pour les légumes, la soupe est élevée au rang de "potage", "crème", "velouté", ou encore de "consommé".
Sur l'ordre du roi, Jean de la Quintinie, Directeur des Jardins Fruitiers et Potagers des Maisons Royales, crée en 1678 le Potager du Roi, à Versailles. Il y élève les légumes les plus délicieux et les plus délicats qui vont entrer dans la composition d'innombrables "potages de plaisirs", dernier chic à la Cour pour l'aristocratie française.
On fête à Genève la célébration de l'Escalade, depuis le XVIIème siècle, qui remémore la libération de la ville grâce à la soupe renversée sur les assaillants savoyards.
Résumé :
La soupe apparaît dès que l’Homme acquière des moyens pour faire bouillir des aliments dans de l’eau (soit 500 ans avant Jésus-Christ). Au moyen-âge la soupe est utilisée pour ces vertus thérapeutiques. Au XVIème siècle, la soupe rentre dans la composition d’un repas quotidien et constitue une entrée.
A la préhistoire la soupe est essentiellement composée d’eau, de céréales, de végétaux et de racines. Au moyen-âge, on rajoute du pain (élément principal) dans la plupart des soupes. C’est seulement au XVIème siècle que les légumes rentrent dans la composition de la soupe : on parle alors plus souvent de potage que de soupe.
MOTS CLES
*histoire (de la soupe)
*historique (de la soupe)
*la naissance (de la soupe)
Publié le 03/06/2008 à 12:00 par soupe
Le grand retour de la soupe
La soupe de légumes est de nouveau à la mode, et c'est tant mieux car elle possède de nombreuses qualités diététiques et nutritionnelles. En favorisant indéniablement l'équilibre alimentaire, elle constitue de plus une aide minceur efficace !
Symbole autrefois de l'alimentation populaire, très souvent plat unique par nécessité chez les plus démunis, la soupe s'inscrit depuis quelques années dans un retour à la mode remarqué dans nos assiettes. Chaud ou froid, ce plat ancestral qui constituait la base de l'alimentation paysanne revient au menu de nos repas, particulièrement celui du soir.
Une enquête récente effectuée par un grand fabricant de soupe le confirme : 97 % des personnes interrogées la considèrent comme "bonne pour tous", 90 % y voient un bon moyen de manger des légumes, 81 % estiment que c'est une façon de découvrir des goûts nouveaux. Soupe, velouté, consommé, gaspacho, minestrone... on estime que 9 millions de français mangent de la soupe chaque soir. Elle est consommée plutôt l'hiver, le soir au dîner et en famille et il s'agit de soupes "maison" dans 76 % des cas. Les composants préférés sont les légumes variés, dont plusieurs études dont SU.VI.MAX ont montré l'importance pour la prévention des maladies cardiovasculaires et de certains cancers.
Cet atout maître d'une alimentation équilibrée constitue un apport non négligeable en nutriments de base se caractérisant par une source de glucides complexes, un taux de matières grasses relativement faible et une teneur intéressante en vitamines et minéraux. De plus, la soupe contribue également à une bonne hydratation : pour celles et ceux qui ont du mal à boire, sa consommation permet d'atteindre plus facilement et agréablement le litre et demi de liquide dont notre organisme a besoin chaque jour. Son absorption en début de repas permet également d'améliorer le phénomène de rassasiement et aide à contrôler les apports alimentaires et à diminuer ainsi la prise calorique totale.
Cet aide minceur participe donc au contrôle de la prise alimentaire quotidienne et à la régulation du poids corporel. En effet, il a été démontré chez les sujets en surpoids que la consommation de soupe en début de repas pouvait induire une économie totale sur la journée pouvant s'élever jusqu'à 268 Calories, permettant à elle seule une perte de poids d'environ 3 kilos au bout de trois mois !
L'enquête SU.VI.MAX confirme de son côté que la plus grande fréquence de consommation de soupe est associée à une probabilité plus importante d'un IMC (Indice de Masse Corporelle) plus faible. Le cholestérol total est en moyenne plus faible chez les consommateurs réguliers de soupe et ces derniers mangent également plus au petit déjeuner et moins le soir, avec un apport lipidique moindre.
Alors que tous les nutritionnistes s'accordent pour dire que la lutte contre la surcharge pondérale passe par une modification des habitudes alimentaires, notamment une réduction des apports lipidiques, la consommation régulière de soupe de légumes en est dorénavant une des pierres angulaires à mettre en place dans tous les foyers et pour tous les âges...
Source : Alexandre Glouchkoff
Résumé:
Ce document affirme que 9 millions de personnes mangent de la soupe chaque soir.
Il nous décrit les bienfaits de la soupe, qui sont les suivants :
*un apport en nutriments de base : glucides complexes, des vitamines et des minéraux
* un taux de matières grasses relativement faible
*participe à une bonne hydratation (aide à atteindre la consommation journalière idéale qui est d’un litre et demi de liquide).
*prendre de la soupe au début d’un repas contribue au phénomène de rassasiement (et ainsi aide à contrôler les apports alimentaires et à diminuer ainsi la prise calorique totale).
De plus une consommation régulière de soupe diminuerait le cholestérol total.
MOTS CLES :
*santé
*nutrition
*bienfaits
*qualités nutritionnelles
*diététique de la soupe
Publié le 03/06/2008 à 12:00 par soupe
J Hum Nutr Diet. 2001 Apr;14(2):121-8.
Related Articles, Links
Consumption of soup and nutritional intake in French adults: consequences for nutritional status.
Bertrais S, Galan P, Renault N, Zarebska M, Preziosi P, Hercberg S.
Institut Scientifique et Technique de la Nutrition et de l'Alimentation, Conservatoire National des Arts et Métiers, Paris, France.
AIM: The impact of soup consumption on nutrient intake and nutritional indicators was assessed in adults who consumed soup compared to those who did not or who were occasional eaters.
METHODS: Data were obtained for 2,188 men and 2,849 women living in France and participating in the SU.VI.MAX cohort, who reported twelve 24-h dietary records during a 2-year follow-up period (60,444 records). Subjects were divided into three groups: (1) those who ate soup 0-2 days or less out of 6 days were classified as occasional or non-consumers; (2) those who consumed soup 3-4 days out of 6 were defined as regular consumers; (3) those who consumed soup 5-6 days out of 6 were defined as heavy consumers.
RESULTS: Seven per cent of women and 9% of men were heavy consumers of soup. Respectively, 46 and 42% were regular, and 47 and 49% were occasional or non-consumers. Mean energy intake was lower in heavy consumers than in occasional or non-consumers, but the difference was statistically significant only in women. In men and women, heavy consumers of soup had significantly higher intakes of carbohydrates than occasional and non-consumers (245 g J(-1) vs. 227 g J(-1) in men; 186 g J(-1) vs. 176 g J(-1) in women) and lower lipid intakes (97 g J(-1) vs. 102 g J(-1) in men; 80 g J(-1) vs. 75 g J(-1) in women). Soup consumers presented lower energy intake at dinner than light or non-consumers. In soup consumers, breakfast and lunch contained greater amounts of carbohydrates, lipids and proteins, but dinner contained significantly smaller amounts of lipids and proteins. A higher frequency of BMI > 27 kg m(-2) was found in occasional and non-soup consumers; conversely a higher frequency of BMI between 23 and 27 kg m(-2) was found in regular consumers of soup and a higher frequency of BMI < 23 kg m(-2) in heavy consumers. For women, an association was found between occasional or non- consumers and BMI > 25 kg m(-2) and between heavy consumers and BMI < 22 kg m(-2). Likewise an association was found in men only between heavy consumption of soup and lower value of serum cholesterol.
CONCLUSION: The present data suggest that the consumption of soups contributes to a balanced diet. Consumption of soup may be beneficial for a healthy nutritional status in the overall population.
PMID: 11330261 [PubMed - indexed for MEDLINE]
TRADUCTION DE L’ARTICLE :
J Hum Nutr Diet. 2001 Apr;14(2):121-8
Consommation de soupes et apport nutritionnel chez les Français adultes : conséquences pour l’état nutritionnel.
OBJECTIF : Déterminer l’impact sur les indicateurs nutritionnels et l’apport en nutriments de la consommation de soupes chez des adultes, en comparant les consommateurs de soupes par rapport à ceux qui ceux qui n’en sont pas ou à ceux qui sont des consommateurs occasionnels.
METHODES : Examen des données obtenues dans la cohorte SU.VI.MAX sur 2 188 hommes et 2 849 femmes résidant en France métropolitaine et qui ont communiqué leur régime alimentaire sur 24 heures pendant 2 années (60 444 enregistrements).
RESULTATS : 7% des hommes et 9 % des femmes étaient de gros consommateurs de soupes, tandis que 46 et 42 %, respectivement au sexe, étaient des consommateurs réguliers, contre 47 et 49 %, respectivement, qui étaient non consommateurs. L’apport énergétique moyen était plus bas chez les gros consommateurs que chez les consommateurs occasionnels ou les non-consommateurs, mais la différence n’était significative que chez les femmes. L’apport glucidique était significativement plus élevé chez les gros consommateurs des deux sexes (245 g J(-1) vs. 227 g J(-1) chez les hommes ; 186 g J(-1) vs. 176 g J(-1) chez les femmes) tandis que l’apport lipidique était plus bas (97 g J(-1) vs. 102 g J(-1) chez les hommes ; 80 g J(-1) vs. 75 g J(-1) chez les femmes). Le dîner des consommateurs de soupes apportait moins de calories que celui des consommateurs occasionnels ou des non-consommateurs. Le petit-déjeuner et le déjeuner des consommateurs de soupe apportaient une plus grande quantité de glucides, de lipides et de protéines, mais leur dîner apportait une quantité moins importante de lipides et de protéines. La fréquence d’un IMC > 27 Kg/m2 était plus grande chez les non-consommateurs et les consommateurs occasionnels ; inversement, un IMC compris entre 23 et 27 Kg/m2 était plus fréquent chez les consommateurs réguliers et un IMC < 23 Kg/m2 était plus fréquent chez les gros consommateurs. En ce qui concerne les femmes, un IMC > 25 Kg/m2 était associé avec une consommation occasionnelle ou une non-consommation, tandis qu’un IMC < 22 Kg/m2 était associé avec une grosse consommation. De même, une association a été trouvée chez les hommes entre une valeur de cholestérol sanguin basse et une grosse consommation de soupe.
CONCLUSION : ces données suggèrent que la consommation de soupe contribue à un régime alimentaire équilibré. La consommation de soupe serait bénéfique pour l’état nutritionnel de la population générale.
*SU.VI.MAX (Supplémentation en vitamines et minéraux antioxydants)
Résumé:
Cet article propose des résultats suivant le type de régimes des consommateurs :
-gros consommateur de soupe,
-consommateurs réguliers,
-non-consommateurs.
Une consommation quasi quotidienne (gros consommateurs) offre :
-un apport énergétique moyen plus faible (sur la totalité de la journée),
-un apport glucidique significativement plus élevé (245 g/J vs. 227 g/J chez les hommes),
-un repas moins riche en calories (effet de rassasiement),
-une diminution de l’IMC (indice de masse corporelle). En général pour :
les non-consommateurs : IMC > 27 Kg/m2
les consommateurs réguliers : 23 < IMC < 27 Kg/m2
les gros consommateurs : IMC < 23 Kg/m2
Rappelons que pour un "poids normal" : 18,5 < IMC < 25
MOTS CLES
*enquête
*SU.VI.MAX
*soupe
*nutrition
*articles publiés
Publié le 03/06/2008 à 12:00 par soupe
Lettre faxée de Nutrition du 19/12/07
http://www.vivelasoupe.com/pdf/lettre_faxee_nutrition_191207.pdf
Résumé :
-Le fait de commencer son repas par la prise d’une soupe réduit d’environ 20% les apports calorique totaux (du repas).
-La soupe est très souvent recommandée, par des médecins, à des patients ayant du mal à contrôler leur poids.
-La soupe accélère l’arrivé de l’effet de satiété.
MOTS CLES :
*bienfaits
*attrait pour la soupe
*qualité nutritionelle
*nutritionniste
*apports caloriques
Publié le 03/06/2008 à 12:00 par soupe
Ah, la soupe…
L’expression populaire “ gros plein de soupe ” est-elle trop abusive ? On peut le croire en regard des résultats obtenus dans un protocole satellite Unox-Knorr de l’étude SUVIMAX.
Par Nicolas Rousseau
News du :
24 Janvier 2002
Aliment séculaire, la soupe n'a pourtant plus l'aura culinaire de nos ancêtres. En effet, la consommation de soupe à l'échelon national (21 litres par personne par an, soit 84 portions de 250 ml) est largement en dessous de la moyenne mondiale (35.5 litres par an).
Malgré tout, en 2001, le marché de la soupe a connu dans notre pays une croissance de 4.2%. Un retour en grâce qui est bienvenu au vu des données scientifiques récentes publiées sur les effets bénéfiques de cet élixir de légumes. En effet, un protocole satellite Unox-Knorr de la très grande étude de population française SU.VI.MAX. (pour suppléments en vitamines et minéraux anti-oxydants), qui constitue une véritable banque de données sur l'alimentation et la santé des français, montre des bénéfices importants d'une consommation régulière de soupe.
Résumé:
La consommation de soupe en France en 2002 est de 21 litres par personne par an (soit 84 portions de 250 ml).
Cette consommation est en dessous de la consommation moyenne mondiale qui est de 35.5 litres par an.
Mais par rapport à 2001, il y a eu une augmentation de 4.2% en France. Ceci s’explique par la publication de données scientifiques faisant l’éloge des bienfaits de la consommation de soupe.
MOTS CLES :
*consommation
*chiffre
*France
*soupe
*par personne
Publié le 03/06/2008 à 12:00 par soupe
--> Article 1
* Sur google, j’ai tapé : histoire+soupe
* J’ai choisi le 2ème site : Soupe - petite histoire de la soupe à travers les âges sur Saveurs ...
--> Article 2
* Sur l'ANNUAIRE GOOGLE
* J'ai choisi la rubrique : SANTE
* Puis la rubrique : NUTRITION
* J'ai pris le site : I-Diétetique - http://www.i-dietetique.com
* En cherchant sur le site, je suis allée dans la rubrique : « à propos » : http://www.dieteticien.net/action=notice&PHPSESSID=20b2352766582a567493d704af324e1f
* Puis sur la droite j’ai choisi : « le grand retour de la soupe » : http://www.dieteticien.net/?action=article&page=10&PHPSESSID=20b2352766582a567493d704af324e1f
--> Article 3
L’article précédent a brièvement présenté une enquête nommée SUVIMAX et comme je désirais plus d’information sur cette enquête, j’ai effectué une recherche.
* J’ai tapé sur AltaVista :SU.VI.MAX
* Puis je suis allée sur le premier site : istna.uren.smbh.univ-paris13.fr/sites/suvimax
* En cliquant sur la rubrique : quelques résultats en bref, j’ai obtenu 109 articles qui ont été publiés : http://istna.uren.smbh.univ-paris13.fr/PUBISTNA_SUVIMAX.php
* J’ai choisi le 86ème qui est en rapport avec la soupe : http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/11330261?dopt=Abstract
-->Article 4
* Sur google, j’ai tapé : inurl :la soupe
* J’ai pris le premier site : Vive la Soupe.com - Accueil
* J’ai choisi la rubrique : Communication nutritionnelle
* Deux article m’ont été proposé et j’ai choisi le 2ème : Lettre faxée de Nutrition du 19/12/07
--> Article 5
* Sur google, j’ai tapé : title : chiffre de consommation de soupe
* J’ai pris le 1er site : Health and Food - article : Ah, la soupe...
Publié le 03/06/2008 à 12:00 par soupe
THEME : LA SOUPE
1.Préparation : Définition du contexte de la recherche
-->
Type d'information :
Je cherche à la fois de l’information générale et de l’information spécifique.
-->
Temps disponible :
Nous disposons de quelques semaines pour faire notre recherche. Il est donc utile que nous ciblions bien nos sujets de recherche afin d’optimiser le temps que nous avons.
-->
Nature de l'information :
Tous types d’information est susceptible de nous intéresser. On peut trouver une information utile dans un extrait de journal, dans une réponse à un mail, dans un texte pris sur le Web etc.
-->
Quantité d'information :
Nous devons trouver cinq articles tous types confondus (un texte de trois pages peut constituer un article au même titre qu’une réponse à un mail).
2.Préparation : Définition du besoin d'information
-->
Identification des composantes du besoin :
Notre thème général est la soupe, pour ma part : nous devons détailler :
o l’historique de la soupe, les bienfaits de la soupe, le niveau de
consommation en France. Les mots clés de cette recherche sont : historique – intérêt – consommation – bienfaits.
o
o
o
o
-->
Priorité des composantes :
Prenons l'exemple de lapremière partie : les quatre composantes sont quatre composantes principales étant donné qu’elles forment chacune une sous-partie de la partie.
-->
Formulation des composantes :
o Pour chercher des informations sur le profil type du consommateur je peux aussi proposer l’expression : définition du consommateur de soupe, ou caractéristiques du consommateur de soupe…
o Pour l’historique il me parait judicieux de trouver les dates qui caractérisent la naissance de la soupe en tapant : naissance de la soupe, début de la soupe…
o Pour la consommation : combien de soupe consomme-t-on par an, consommation de soupe en France.
o Pour les intérêts : les bienfaits de la soupe, pourquoi mange-t-on de la soupe, quels sont les bienfaits de la soupe, que vaut la consommation de soupe…
3.Préparation : Définition des limitations
-->
Limitation linguistique :
nous allons effectuer notre recherche en français, mais si certains articles proposés sont en anglais nous les traduirons pour pouvoir les exploiter.
-->
Limitation chronologique :
nous ne désirons pas instaurer une limitation chronologique, sauf pour les sondages concernant la consommation de la soupe (il serait en effet préférable de trouver des sondages assez récents par exemple de 2007 ou de 2008).
-->
Limitation géographique :
nous voulons restreindre notre recherche à la France uniquement pour les sondages concernant la consommation de la soupe.
En revanche pour l’historique ou pour les intérêts à consommer de la soupe nous ne comptons pas restreinte notre rechercher à la France.
Publié le 04/06/2008 à 12:00 par soupe
24 janvier 2002
Ah, la soupe...
Un poids corporel plus faible :
Cette étude, réalisée auprès de 5000 personnes, révèle, tant chez la femme que chez l'homme, que les consommateurs assidus (5 à 6 fois par semaine) de soupe (industrielle et/ou faite maison) ont une corpulence plus faible, devant les consommateurs réguliers (3 à 4 fois par semaine) et occasionnels (0 à 2 fois par semaine). Les auteurs de l'étude expliquent en partie cette relation par l'effet rassasiant de la soupe qui provoque une ingestion moindre de calories (principalement de graisses) au cours du souper. Cet effet satiétogène se prolonge durant une partie de la nuit, si bien qu'au réveil, la faim est exacerbée chez le grand amateur de soupe qui ingère un copieux petit déjeuner. Outre un effet sur le poids, la consommation de soupe contribue donc également à une meilleure répartition d'énergie au cours de la journée.
Résumé : La soupe a un effet satiétogène qui permet de limiter la quantité de nourriture ingérée le soir. Ainsi, au réveil, la faim est plus intense ce qui peut être utile chez les personne qui habituellement ne mange pas le matin.
Mots clés :
consommation régulière
satiété
répartition d'énergie
régulation
Publié le 04/06/2008 à 12:00 par soupe
décembre 2004
http://www.healthandfood.be/html/fr/article/68/soupe_faim.htm
Une soupe pour calmer les petites faims...
Un repas est, par définition, physiologiquement motivé par la faim. Cette sensation traduit un manque de disponibilité immédiate en glucose, déclenché par une légère baisse de la glycémie (environ 5%, au moins 5 minutes avant la demande de repas). Le signal de faim active des neurones glucosensibles, qui provoquent le comportement caractéristique de recherche, de sélection et d’ingestion. Il se poursuit jusqu’à la survenue du rassasiement ou satiation, qui signe la fin du repas. Cette réponse est conditionnée. D’abord par la reconnaissance de l’aliment et ensuite par la sensibilité des récepteurs gastriques et intestinaux qui calibrent le volume d’étirement des ces organes et détermine la quantité consommée.
L’étape suivante est celle de la satiété, ou état de non-faim qui s’écoule entre deux prises alimentaires spontanées. La durée de la satiété est déterminée par l’utilisation du glucose, un phénomène qui dépend directement de l’insuline. Limiter les fluctuations trop importantes de l’insuline permet donc de renforcer le sentiment de satiété.
A coup de cuillère à soupe :
Cet effet peut être obtenu avec la consommation de soupe, comme l’a montré le professeur Jeanine Louis-Sylvestre (Faculté X Bichat, à Paris), à l’occasion du Workshop organisé par Knorr lors du 7e Congrès de Nutrition et Santé*. Dans son étude, elle a évalué l’effet de la soupe sur la satiété de personnes de corpulence normale (BMI moyen de 21,9) ou en excès de poids (BMI moyen de 27,9). Chaque volontaire a reçu en entrée soit des légumes cuits coupés en morceaux et un verre d’eau, soit une soupe de légumes mixées, soit une soupe de légumes avec morceaux, pour un poids équivalent de 150 g.
Les résultats montrent que pour les deux catégories d’individu, la prise d’une entrée de légumes s’accompagnent d’une diminution de la sensation de faim après le repas, par rapport à la même session, mais reproduite cette fois sans entrée. Toutefois, l’intensité de cette diminution variait d’une entrée à l’autre : elle était plus importante pour la soupe avec morceaux, suivie de la soupe passée et des légumes cuits.
Cet effet s’explique au niveau de la vidange gastrique. Généralement, le liquide d’un repas est vidangé d’abord, du moins partiellement, très vite s’il s’agit d’eau pure et moins vite si les nutriments sont en solution. Le reste, avec la partie solide, est redistribué dans tout l’estomac et les solides broyés peu à peu, puis vidangés quand les particules ont des dimensions inférieures à 1-2 mm. L’option « nutriments en solution et morceaux », comme dans la soupe avec morceaux est donc celle qui ralentit le plus la vidange gastrique. Par cet effet, la vitesse d’absorption du glucose est ralentie et la sécrétion d’insuline est plus faible. CQFD !
Moins de calories au dîner et au souper :
Autre effet intéressant de la soupe avec morceaux : l’apport énergétique du dîner était réduit de 150 kcal en moyenne chez les personnes de poids normal et de 160 kcal en moyenne chez les individus en excès de poids. Soit une réduction de l’ordre de 20 %, non observée avec les deux autres entrées. Au final, chez les personnes en surpoids, la consommation de soupe avec morceaux à midi se soldait aussi par une diminution de l’apport énergétique du repas du soir et, donc, de l’apport énergétique total de la journée, de l’ordre de 200 kcal. C’est peu, mais c’est aussi beaucoup si la consommation de soupe est régulière à long terme.
Nicolas Rousseau
Diététicien nutritionniste
Résumé :
Lorsque la soupe présente des morceaux de légumes mais aussi du liquide elle ralentit la vidange gastrique. Cela contribue à prolonger le temps précédent le repas suivant et donc à éviter le grignotage. La présence de la soupe lors d'un repas parait donc bénéfique.
Mots clés :
rassasier
insuline
vidange gastrique
absorption
Publié le 04/06/2008 à 12:00 par soupe
Guide nutrition et santé p.19
Résumé : Voici les principales caractéristiques d'un bol de soupe de légumes. On apprend que la soupe peut parfois être trop salée. Elle contient majoritairement de l'eau, mais aussi des glucides, protides et lipides. Il est évident que les quantité en nutriments varient d'une soupe à l'autre.